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La Rochette-du-Buis

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La Rochette-du-Buis
La Rochette-du-Buis
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Jean-Marc Pelacuer
2020-2026
Code postal 26170
Code commune 26279
Démographie
Gentilé Rochettais, Rochettaises
Population
municipale
56 hab. (2021 en évolution de −28,21 % par rapport à 2015)
Densité 5,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 12″ nord, 5° 25′ 16″ est
Altitude Min. 640 m
Max. 1 302 m
Superficie 11,06 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Rochette-du-Buis
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La Rochette-du-Buis

La Rochette-du-Buis est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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La Rochette-du-Buis est située à 20 km à l'est de Buis-les-Baronnies.

Relief et géologie

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Sites particuliers[1] :

  • Combe de Colomb
  • Combe Martine
  • Montagne de la Loube (1 302 mètres)
  • Montagne de Lirette (917 mètres)
  • Montagne des Payets (1 125 mètres)
  • Montagne des Tunes (1 263 mètres)
  • Rocher du Maupas.
  • Serre des Moles (866 mètres)

Le village s'est implanté sur un rocher anciennement détaché par un tremblement de terre[2].

Hydrographie

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La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Charuis (affluent de l'Ouvèze)
  • Ravin de Combe Bellonne
  • Ruisseau de Bourroulet
  • Ruisseau de Chiralier
  • Ruisseau de Jean
  • Ruisseau du Chapelet

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 936 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Auban », sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , La Rochette-du-Buis est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), zones agricoles hétérogènes (31 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Village perché[2].

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Baritel
  • Baumettes
  • Brame-Faim
  • Cheneviers
  • Chomatton
  • Cocu
  • Collet
  • Costeras
  • Costiasse
  • Esclot
  • Esclot de l'Estelier
  • Fabreyge
  • Forêt Domaniale de Chamouse
  • Giraude
  • Lahonas
  • la Côte
  • l'Astouraye
  • la Viras
  • le Devès
  • le Jonchier
  • le Pont
  • les Brachiers
  • les Dols
  • les Granges
  • le Vallon
  • Lone
  • l'Ubac de Chomel
  • Petite Montagne
  • Pierre Poussier
  • Pissarelle
  • Quincent
  • Sainte-Anne
  • Saint-Jean
  • Serre Dindons
  • Sorgue
  • Vallon du Fort
  • Vercoiranne
  • Ynardons

Projets d'aménagement

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Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 359 et 546[1].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1293 : Ruppecula (Inventaire des dauphins, 222).
  • 1293 : castrum de Rocheta (Valbonnais, I, 35).
  • 1300 : Rupeta (Inventaire des dauphins, 247).
  • 1317 : Rocheta subtus Medullionem (Valbonnais, II, 165).
  • 1332 : Rupecula Medulionis (Inventaire des dauphins, 220).
  • 1390 : Rupeta subtus Medulionem (doc. inéd., 376).
  • 1442 : castrum Rochete (Inventaire des dauphins, 274).
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Rocheta supra Sanctum Albanum (pouillé de Gap).
  • 1620 : territorium Ruppete (terrier de Mévouillon).
  • 1788 : La Rochette sur Saint-Auban (archives de la Drôme, E 2078).
  • 1891 : La Rochette, commune du canton de Buis-les-Baronnies.

(non daté)[réf. nécessaire] : La Rochette-du-Buis.

Étymologie

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Le toponyme provient probablement de la roche sur laquelle le village s'est établi. Elle domine l'entrée du val de Gresse et offrait aux Mévouillon une position stratégique. Ils y construisirent un fort autour duquel s'implanta le village[15].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, la Rochette était une terre (ou seigneurie) de la baronnie de Montauban.
  • Elle passe aux dauphins.
  • 1324 : les Baux d'Avellino font hommage aux dauphins.
  • 1329 : un quart de la terre appartient aux Agoult.
  • 1332 : les Baux vendent les trois quarts restant aux dauphins.
  • 1336 : les Félines possèdent la moitié de la terre.
  • 1345 : les Morges possèdent l'autre moitié.
  • 1351 : la part des Félines passe aux Cornilhan.
  • La part des Cornilhan passe aux Morges, désormais seigneurs de toute la terre.
  • 1362 : les Morges donnent un quart de la terre aux Theys et un quart aux Egluy.
  • 1373 : les Morges donnent le reste aux Rosans.
  • 1380 : les Morges reprennent possession des parts des Rosans et des Theys.
  • 1409 : les Morges revendent ces parts aux Gillin.
  • 1424 : la part des Gillin passe (par héritage) aux Bardonenche.
  • 1429 : la part des Bardonenche passe aux L'Espine.
  • (non daté) : la part des Egluy passe aux Artaud.
  • 1540 : la part des Artaud passe aux L'Espine, désormais seigneurs de toute la terre.
  • 1718 : la terre est vendue aux (du) Roux de Montauban.
  • Fin XVIIIe siècle : elle passe aux Suarez d'Aulan, derniers seigneurs.

Avant 1790, la Rochette était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap dont les dîmes appartenaient au prieur de Mévouillon qui présentait à la cure[14].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, la communauté de la Rochette forme, conjointement avec celle du Poët-en-Percip, une commune du canton de Montbrun. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une commune distincte du canton de Buis-les-Baronnies[14].

Pendant la deuxième guerre mondiale, le lieutenant des FFI, Bruno Razzoli[16], dit Raymond, était le chef de la 1re section du Maquis d'Izon.
Le Maquis Ventoux, originellement de Sault (84), s'était replié à Izon la Bruisse (26) en novembre 1943.
Razzoli était né le à Lamporeccio (Toscane) en Italie. Avant guerre, il avait été militant syndicaliste, responsable de la fédération CGT-Chimie des Bouches-du-Rhône et responsable actif du PCF. Il avait participé aux Brigades Internationales en Espagne.
Le , quand une section de la division allemande Brandenburg envahit le Maquis d'Izon, il est à Séderon. En voulant aller donner l'alerte, il est intercepté par une patrouille allemande à Villefranche-le-Château. Emmené à Orange, il y est torturé jusqu'au puis il est amené à La Rochette-du-Buis, puis à Izon-la-Bruisse. Là, ses tortionnaires l'abattent d’une rafale de mitraillette à la bergerie La Geneste, sur le chemin conduisant à la ferme de La Forestière. Il est enterré avec les 34 autres victimes du maquis d'Izon (dans l'actuel Mémorial National). Il est exhumé à l'automne 1945 pour être inhumé à Salon-de-Provence. À Marseille il y a une « Traverse Bruno Razzoli » dans le 16e arrondissement[17].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 Louis Samuel PCF  
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 ?    
2003 (mai)
(élection ?)
2005 René Jouve (sans étiquette) retraité
2005
(élection ?)
2008 Alain Auberic    
2008 2014 Gérard Argaud (sans étiquette) médecin
2014 2020 Jean-Marc Pelacuer (sans étiquette) salarié agricole
2020 En cours
(au 13 avril 2022)
Jean-Marc Pelacuer[18][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux

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Jusqu'en , la commune faisait partie du canton de Buis-les-Baronnies. À la suite du redécoupage des cantons du département, elle est rattachée au canton de Nyons et Baronnies[19].

Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 56 habitants[Note 1], en évolution de −28,21 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
258248240242286275288311287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
304293299311283297277282296
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
276260239170160146129123123
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
10710563615965666768
2014 2019 2021 - - - - - -
746056------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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L'école primaire la plus proche se trouve à Saint-Auban sur l'Ouvèze, le collège le plus proche à Buis-les-Baronnies, le lycée le plus proche à Nyons.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : le dimanche suivant le 15 août[2].
  • Randonnées : GR 91, GRP Tour des Baronnies Provençales[1].

Agriculture

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En 1992 : lavandin (essence), arbres fruitiers[2].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • Gorges de Charruis[2].
  • Grottes[2].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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La Rochette-du-Buis possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Rochette-du-Buis.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Rochette-du-Buis et Saint-Auban-sur-l'Ouvèze », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St-Auban », sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St-Auban », sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 314 (la Rochette).
  15. Jean-Claude Ruegg et Mireille Bourny, Toponymie de La Rochette du buis.
  16. « RAZZOLI Bruno [ pseudonyme dans la Résistance : Raymond BENOIT ] », sur maitron.fr (consulté le ).
  17. album « La tragédie du Maquis d’Izon ».
  18. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  19. Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. a b c et d « La Rochette-du-Buis à La Rochette-du-Buis - Patrimoine Culturel », sur Site de l'Office de tourisme des Baronnies en Drôme Provençale (consulté le ).